La finance islamique est une finance dont le principe est basé sur la loi islamique, la charia. Ce principe se tend vers la recherche de la transmission d’une vision de justice, de transparence et d’équité. Elle bénéficie en France depuis 2008 des aménagements fiscaux. Voici un article qui en dit plus sur ces éléments de la finance islamique.
Quels sont les grands principes de la finance islamique ?
D’abord, la finance islamique est un secteur qui a connu une très grande progression pendant plusieurs années. Mais elle est peu connue aujourd’hui, en savoir plus sur https://www.ax-fiduciaire.ch/. En effet, les principes de base de la finance islamique sont conformes aux lois coraniques. Le terme finance islamique regroupe produits financiers et les transactions, tous en conformité avec ses principes. Selon ces principes, les transactions et produits financiers consistent en l’interdiction de l’intérêt, de la spéculation, l’incertitude. Il y a également l’interdiction de faire d’investissement dans un secteur considéré comme illicite. De même, ces principes stipulent le respect de partage des profits et pertes.
Quels sont les aménagements fiscaux pour la finance islamique ?
Le ministre français de l’Économie a annoncé le 18 décembre 2008, un certain nombre d’aménagements fiscaux pour accorder plus de faveurs aux montages de finance islamique. Le but de ceci est d’attirer d’investisseurs du Proche-Orient. La murabaha et les sukuks sont les outils principaux de la finance islamique concernés par ces mesures. La murabaha est un contrat de vente dont les termes stipulent que tout vendeur procède à la vente d’un actif à un financier islamique. Celui-ci le revend à son tour à un investisseur pour une vente à tempérament. Les sukuks et les autres produits financiers assimilés constituent des titres qui présentent leur titre en un titre créancier. Ça peut être en un prêt dont le capital et la rémunération sont indexés sur la performance de plusieurs actifs ou d’un seul actif. L’administration de la fiscalité a décidé que la fiscalité des opérations de murabaha soit neutre. Ceci en conformité des droits d’enregistrement et aussi pour la déductibilité fiscale sur la rémunération à verser pour le compte de sukuk.